
Myriam, 58 ans, a entendu parler de La Minoterie par l'un des fondateurs, Julien, avec qui elle a fait de la musique. Emballée par le foisonnement de projets du lieu, elle a eu envie d'y faire partager sa sensibilité artistique.
Professionnelle de l'aide médico-psychologique, Myriam est également artiste plasticienne, judokate et animatrice d’ateliers d'expression créative à visée thérapeutique. À La Minoterie, elle anime depuis quelques mois des ateliers d’écriture. Elle y a par ailleurs exposé de magnifiques créations, « Ma Série d’Encre Haïku ». Myriam est également maman d'un jeune réalisateur, qui a projeté son premier documentaire dans notre lieu. Elle aime « cet espace de proximité qui rassemble, ouvre les horizons et offre la possibilité de s’exercer, de pratiquer, de partager ses savoirs et ses idées. »
Ses meilleurs moments sont tous ces petits instants de conversations, d’écoutes, d’échanges, de partages, de rencontres, de liens et d’amitiés autour d’un simple café. Pour elle, La Minoterie, « c’est l’accueil des parcours de vie et d’engagements différents, de visions du monde, de respect, de tolérance, opérant, qui libère la parole, déniche des talents, à la découverte de soi et des autres, aux valises et cœurs remplis d’histoires, de voyages, d’envies, de raisons d’être, et de prospérités mutuelles ». Pour la suite, Myriam souhaite « une longue continuation à ce tiers-lieu, avec l’ouverture d'un hall d’expositions et des événements qui embarquent dans sa grande barque amarrée, du pluri’ailes au commun, le tien, le nôtre, rêves et solidarités.»
Ce portrait a été rédigé par la Minotière Cécile !